On les a torchés, sti.
L'Impact Montréal est sorti fort hier soir, éliminant ainsi la défaite honteuse à St.Louis il y a deux semaines, en leur retournant la faveur au Stade Saputo. Des buts de Reda Agourram (24'), Tony Donatelli (29') et Antonio Ribeiro (82') ont fait le travail.
Qu'y avait-il de différent hier?
D'abord, les joueurs. Marc Dos Santos a débuté le match avec une formation 4-3-3, avec Pizzolitto et le nouveau venu Wesley Charles en défense centrale. Ce dernier a été imposant en D centrale, du coup, les chances dans les airs ont été stoppés. Hicham Aaboubou jouait en latéral droit, le permettant ainsi de faire quelques montées pour appuyer l'attaque. En l'absence de Stephen deRoux, Simon Gatti est retourné à sa position naturelle en tant que latéral gauche, et a bien fait son travail, étant même celui qui a fait le beau centre que Tony Donatelli a dévié de la tête pour se retrouver au fond du filet.
Au milieu, il y avait Felipe Soares, David Testo et Tony Donatelli, qui semblaient fluides sur le terrain pour permettre d'ouvrir des zones de passes offensives.
Enfin, en attaque, outre Ali Gerba, qui doit encore s'habituer à des passes de ses coéquipiers qui sont difficilement atteignables, il y avait Reda Agourram, qui a joué un match solide, ainsi que Philippe Billy, qui était hors de sa position normale, mais qui était tout aussi efficace.
Notons aussi la présence d'Antonio Ribeiro, qui est entré en 70e à la place de Gatti, et qui a marqué un joli but. Voilà un gars heureux de rentrer chez lui.
Ensuite, l'attitude. Les Goélands n'ont pas seulement bien joué, ils ont franchement bien joué. Ils avaient envie de gagner, envie de compter. Pas de demi-efforts hier soir.
Enfin, le support. Les Ultras étaient en feu, alors que plusieurs d'autres spectateurs (notamment des associations de soccer juvéniles) ont à leur tour chanté. Des milliers de kazoo ont presque rendu l'ambiance au Stade Saputo égale à celle détestée durant la Coupe du Monde avec ses vuvuzelas. Enfin, presque. On a aussi eu droit à des chants en section 117! Du (presque) jamais vu! Vive les matchs de milieu de semaine avec des vrais amateurs. Ces matchs-là sont toujours plus divertissants.
Un gros trois points bien mérités et nécessaires avec une autre belle ambiance de milieu de semaine jumelée à des hot-dogs pour 1$: More, please!
L'Impact Montréal est sorti fort hier soir, éliminant ainsi la défaite honteuse à St.Louis il y a deux semaines, en leur retournant la faveur au Stade Saputo. Des buts de Reda Agourram (24'), Tony Donatelli (29') et Antonio Ribeiro (82') ont fait le travail.
Qu'y avait-il de différent hier?
D'abord, les joueurs. Marc Dos Santos a débuté le match avec une formation 4-3-3, avec Pizzolitto et le nouveau venu Wesley Charles en défense centrale. Ce dernier a été imposant en D centrale, du coup, les chances dans les airs ont été stoppés. Hicham Aaboubou jouait en latéral droit, le permettant ainsi de faire quelques montées pour appuyer l'attaque. En l'absence de Stephen deRoux, Simon Gatti est retourné à sa position naturelle en tant que latéral gauche, et a bien fait son travail, étant même celui qui a fait le beau centre que Tony Donatelli a dévié de la tête pour se retrouver au fond du filet.
Au milieu, il y avait Felipe Soares, David Testo et Tony Donatelli, qui semblaient fluides sur le terrain pour permettre d'ouvrir des zones de passes offensives.
Enfin, en attaque, outre Ali Gerba, qui doit encore s'habituer à des passes de ses coéquipiers qui sont difficilement atteignables, il y avait Reda Agourram, qui a joué un match solide, ainsi que Philippe Billy, qui était hors de sa position normale, mais qui était tout aussi efficace.
Notons aussi la présence d'Antonio Ribeiro, qui est entré en 70e à la place de Gatti, et qui a marqué un joli but. Voilà un gars heureux de rentrer chez lui.
Ensuite, l'attitude. Les Goélands n'ont pas seulement bien joué, ils ont franchement bien joué. Ils avaient envie de gagner, envie de compter. Pas de demi-efforts hier soir.
Enfin, le support. Les Ultras étaient en feu, alors que plusieurs d'autres spectateurs (notamment des associations de soccer juvéniles) ont à leur tour chanté. Des milliers de kazoo ont presque rendu l'ambiance au Stade Saputo égale à celle détestée durant la Coupe du Monde avec ses vuvuzelas. Enfin, presque. On a aussi eu droit à des chants en section 117! Du (presque) jamais vu! Vive les matchs de milieu de semaine avec des vrais amateurs. Ces matchs-là sont toujours plus divertissants.
Un gros trois points bien mérités et nécessaires avec une autre belle ambiance de milieu de semaine jumelée à des hot-dogs pour 1$: More, please!
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